Génération décarbonnée n°4
2200,00 €
Peinture acrylique sur toile montée sur chassis/
Série Génération décarbonnée
Dimensions 70 x 100 cm
Oeuvre livrée par transporteur
1 en stock
Autodidacte, il utilise de la peinture à huile qu’il dépose sur des supports multiples à l’aide d’un « tube stylo » marqueur de son invention. Il associe les techniques (stylo marqueur, doigts, grattage) et maîtrise la composition sur des petits, moyens et grands formats. Son travail est caractérisé par la mise en scène de personnages squelettiques blancs sur fonds noir, que viennent accentuer des touches ou aplats de couleur.
Il est représenté par la galerie Agama (Toulouse) qui assure sa promotion depuis 2018. De nombreux collectionneurs internationaux s’intéressent à son travail et ont acquis ses oeuvres, notamment l’écrivain et ancien expert pour Christie’s, Pierre Amrouche.
Reconnaissance et collaborations internationales
Après plusieurs expositions en Afrique de l’Ouest (Bénin, Togo) et en France, Patricorel a reçu le premier Prix du concours de la bande-dessinée, décerné par la Fondation Zinsou en 2013. Coup de coeur de la galerie Agama, qui a exposé ses oeuvres en avril 2022 à Toulouse, Patricorel s’affirme comme un artiste engagé et « politique » de la scène artistique contemporaine : Beaux-arts Magazine lui consacre un focus en mars 2022. Avec ses oeuvres, Patricorel, dénonce des faits de société, comme le dictat des réseaux sociaux, le travail des mineurs, l’exode, le racisme (…). Il porte également un regard plus apaisé sur la vie quotidienne à Cotonou – loisirs, consommation, relations de couple – sur les traditions animistes qui imprègnent son pays et livre quelques souvenirs d’enfance.
Récemment, Patricorel a participé à plusieurs expositions : à la Case Nomade à Porto- Novo (mars 2022 et été 2023), à la Galerie AF à Lomé (janvier 2023) et au Centre à Cotonou (février-mai 2023). Actuellement, son travail est accueilli à la Gallery 1957, à Accra et à Londres (septembre et octobre 2023).
La nouvelle scène artistique africaine est en pleine effervescence. Sa créativité est exceptionnelle et les artistes talentueux y sont nombreux.
Patricorel en fait sans hesitation partie. Ses créations sont puissantes par leur graphisme et par leur message.
Il propose encore des œuvres abordables ce qui m’a permis de franchir le pas plusieurs fois.
Des connaisseurs reconnus pour leur oeil expert lui accordent une attention particulière (voir le magazine Beaux-Arts de mars 2022)
Sa cote monte, monte, monte ….
Après plusieurs expositions en Afrique de l’Ouest (Bénin, Togo) et en France, Patricorel a reçu le premier Prix du concours de la bande-dessinée, décerné par la Fondation Zinsou en 2013.
Patricorel s’affirme comme un artiste engagé et « politique » de la scène artistique contemporaine : Avec ses oeuvres, Patricorel, dénonce des faits de société, comme le dictat des réseaux sociaux, le travail des mineurs, l’exode, le racisme (…). Il porte également un regard plus apaisé sur la vie quotidienne à Cotonou – loisirs, consommation, relations de couple – sur les traditions animistes qui imprègnent son pays et livre quelques souvenirs d’enfance.
Récemment, Patricorel a participé à plusieurs expositions : à la Case Nomade à Porto- Novo (mars 2022 et été 2023), à la Galerie AF à Lomé (janvier 2023) et au Centre à Cotonou (février-mai 2023). Actuellement, son travail est accueilli à la Gallery 1957, à Accra et à Londres (septembre et octobre 2023).
