L’ampleur de ses compositions, l’utilisation de la lumière, la multitude de personnages ou de détails et l’architecture évoquent celles des primitifs flamands et de maîtres de l’École Flamande ou de l’École d’Anvers.
Laurie Lipton qualifie, en forme de boutade très sérieuse, son style de “techno-rococo” :
Il claque à l’oreille et décrit très bien ses créations : des éléments techniques et technologiques qui écrasent et remplissent l’espace, des courbes, des entrelacs, la fantaisie des multitudes d’objets. Son rococo est techno et non fleuri comme celui du XVIIIè siècle : le détournement du terme est facétieux.